Les aphrodites T.3 | | Ecrit en 1793, Les Aphrodites est, à l'origine, un de ces romans " qu'on ne lit que d'une main " dont l'univers est une joyeuse débauche. En un siècle où les sociétés secrètes abondent, il fut un groupe de libertins, près de Paris, qu'on nommait " Les Aphrodites ". L'auteur y place l'intrigue de son marivaudage et décrit ses contemporains en véritable humaniste : les hommes sont jugés sur leur calibre et leurs performances, les femmes sur leurs qualités et leur expérience. Libertin donc, mais surtout hédoniste car Nerciat est aux antipodes de la morgue du marquis de Sade. Au seuil de " la terreur ", en ces temps de jacobinisme, toute la noblesse se déplace vers l'Allemagne et l'Autriche. Les castes sont sans dessus dessous et jusqu'au sein des Aphrodites, une société secrète à seule vocation de plaisir, les usages s'en ressentent. Mme Durut, l'intendante de cet hospice, tient pourtant bien ses comptes et veille à la tenue de son personnel, surtout celle de Loulou, son protégé. Un coup d'oeil en coulisse, tandis qu'un étrange gascon vient se présenter à l'entrée des artistes. On jugera de ses qualités, surtout certaines, comme il se doit, mais après avoir fait la connaissance d'une marquise, sur le départ, elle aussi, et bien décidée à prendre dans son sillage un jeune gentil-homme français, fût-ce au prix de savants stratagèmes. Agathe Durut arrivera t-elle à l'en dissuader ? Après Intrigante Agathe, ce second tome des Aphrodites nous replonge dans l'univers libertin d'une cette société secrète en marge du tumulte politique de la révolution. On y retrouvera les personnages principaux de la première partie, avec quelques nouveaux acteurs pour s'adonner sans retenue aux plaisirs de l'intrigue, du mensonge, du sophisme et naturellement du sexe. On l'aura compris, Les Aphrodites est une sorte de vaudeville, une histoire de placards où la langue fine du 18e siècle est mise en valeur par le dessin de grande qualité d'Emmanuel Murzeau.
48 pages
Format : 32,0 x 23,0 cm
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Les aphrodites T.4Écrit en 1793, Les Aphrodites est, à l'origine, un de ces romans dont l'univers est une joyeuse débauche. Libertin donc, mais surtout hédoniste car Nerciat est aux antipodes de la morgue du marquis de Sade. Après Intrigante Agathe, Le masque aveugle et Eulalie dans le manège, ce quatrième et dernier tome des Aphrodites nous replonge dans l'univers libertin d'une société secrète en marge du tumulte politique de la révolution. Une sorte de vaudeville, une histoire de placards où la langue du 18e siècle est mise en valeur par le dessin de grande qualité d'Emmanuel Murzeau. |
| | Les aphrodites T.2Ecrit en 1793, Les Aphrodites est, à l'origine, un de ces romans " qu'on ne lit que d'une main " dont l'univers est une joyeuse débauche. En un siècle où les sociétés secrètes abondent, il fut un groupe de libertins, près de Paris, qu'on nommait " Les Aphrodites ". L'auteur y place l'intrigue de son marivaudage et décrit ses contemporains en véritable humaniste : les hommes sont jugés sur leur calibre et leurs performances, les femmes sur leurs qualités et leur expérience. Libertin donc, mais surtout hédoniste car Nerciat est aux antipodes de la morgue du marquis de Sade. Au seuil de " la terreur ", en ces temps de jacobinisme, toute la noblesse se déplace vers l'Allemagne et l'Autriche. Les castes sont sans dessus dessous et jusqu'au sein des Aphrodites, une société secrète à seule vocation de plaisir, les usages s'en ressentent. Mme Durut, l'intendante de cet hospice, tient pourtant bien ses comptes et veille à la tenue de son personnel, surtout celle de Loulou, son protégé. Un coup d'oeil en coulisse, tandis qu'un étrange gascon vient se présenter à l'entrée des artistes. On jugera de ses qualités, surtout certaines, comme il se doit, mais après avoir fait la connaissance d'une marquise, sur le départ, elle aussi, et bien décidée à prendre dans son sillage un jeune gentil-homme français, fût-ce au prix de savants stratagèmes. Agathe Durut arrivera t-elle à l'en dissuader ? Après Intrigante Agathe, ce second tome des Aphrodites nous replonge dans l'univers libertin d'une cette société secrète en marge du tumulte politique de la révolution. On y retrouvera les personnages principaux de la première partie, avec quelques nouveaux acteurs pour s'adonner sans retenue aux plaisirs de l'intrigue, du mensonge, du sophisme et naturellement du sexe. On l'aura compris, Les Aphrodites est une sorte de vaudeville, une histoire de placards où la langue fine du 18e siècle est mise en valeur par le dessin de grande qualité d'Emmanuel Murzeau. |
| | Les aphrodites T.1Ecrit en 1793, Les Aphrodites est, à l'origine, un de ces romans « qu'on ne lit que d'une main » dont l'univers est une joyeuse débauche. En un siècle où les sociétés secrètes abondent, il fut un groupe de libertins, près de Paris, qu'on nommait "Les Aphrodites". L'auteur y place l'intrigue de son marivaudage et décrit ses contemporains en véritable humaniste: les hommes sont jugés sur leur calibre et leurs performances, les femmes sur leurs qualités et leur expérience. Libertin donc, mais surtout hédoniste car Nerciat est aux antipodes de la morgue du marquis de Sade. Le Chevalier vient retrouver Mme Durut, sa marraine en matière de plaisir, à l'hôtel de rencontre pour nobles dont elle est l'intendante. Les retrouvailles, après quatre années, sont fougueuses. Comme la Duchesse se morfond dans l'attente du comte, en retard au rendez-vous donné, Mme Durut lui propose, après les services d'un jeune "jockey", de rencontrer le Chevalier qu'elle fait passer pour son neveu. Le retardataire sera de son côté retenu comme il se doit, à son arrivée, par l'adorable Célestine, une fringuante espiègle, à laquelle il ne saura résister. La Duchesse reprend ses esprits etoubliant soudain le plaisir obtenu avec celui qu'elle tient encore pour un roturier, crie au viol et menace de suicide. Mme Durut venue défendre son champion, est suivie par le Comte jaloux qui aussitôt exige des réparations. Elle doit alors leur révéler la condition d'un Chevalier déjà prêt à en découdre. Célestine vient enfin s'ajouter au tableau pour apaiser les passions, en rappelant au Comte ses propres incartades. Les cinq personnages se retrouvent autour d'un dîner de réconciliation qui tourne vite à la bacchanale. On l'aura compris, Les Aphrodites est une sorte de vaudeville, une histoire de placards où la langue fine du 18e siècle est mise en valeur par le dessin de grande qualité d'Emmanuel Murzeau. |
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